Merci les gars!
Après deux mois d'entraînement intensif: environ mille plombs tirés, les sensations reviennent, ça remonte quand même à un bail du temps où j'étais instructeur de tir dans l'armée. Mais hier j'ai ressenti pour la première fois ce grand calme qui précède le lâcher, j'avais réuni aussi toutes les conditions: Tôt le matin 7h00, une bonne nuit de sommeil, un air frais, une pèche du tonnerre et cette certitude quand le visuel se stabilise dans le réticule que le plomb va faire mouche, enfin je ne vous apprendrai rien en vous disant que tout est dans la tête, le geste suit depuis l'armement jusqu'au relâchement de l'épaule, on ne sent plus l'arme elle devient le prolongement de l'oeil ....
En plus quand c'est une Diana...
Bon j'arrête là je pourrai disserter longtemps sur tout le travail psychologique que l'on peut faire en pratiquant le tir (sportif).