"Mitraillette" Pneumatir

Juste pour raviver les souvenirs de nos amis papys...
Amicalement,
________Papy Jidé

avec les petits plombs en sachet kraft, 3/4 rondelles!que de bons souvenir!ceux que j'ai eut avait un look plus moderne!

d'enfer cette trouvaille Jidé
@ + de jaak1

Mais pourquoi tous cela a disparu remarque pour le noel de mon neuveux je lui ait pris un tir au canard infrarouge ^^ (quand on tir au bon moment sur le canard il tombe)

lerogerdu37 a écrit:

Mais pourquoi tous cela a disparu remarque pour le noel de mon neuveux je lui ait pris un tir au canard infrarouge ^^ (quand on tir au bon moment sur le canard il tombe)

Avec un peu de customisation, ce gadget peut devenir un vrai standlaser pour l'hiver
Amicalement,
________Jidé

jaak1 a écrit:

d'enfer cette trouvaille Jidé
@ + de jaak1

Quel calibre c'était, d'après toi ?
Je dirais au pif 2 mm ?
Amicalement,
________Jidé

c'était du plomb de 7 Jidé, j'en ai eu un quand j'étais jeune, et j'achetais les plombs en armurerie, c'était beaucoup moins cher que les doses toutes prêtes. 3 membranes c'était le maximum et dur pour appuyer sur la poire. A cette époque on vivait librement, les temps ont bien changé!

A quelle chance d'avoir vecu une si belle epoque, comme je vous envie.

Ca nous dit pas comment ça fonctionne moi je veux savoir

+ 10, Papy, tu as raison sur le calibre et ça pechait pas mal
J'ai eu ça avec un tir au corbeau en plastic.
Comme St Nicolas (lol)
C'est un temps que les jeunes ne peuvent pas connaître
@ + jaak1

Arg c'est bon on arrête de remuer le couteaux dans la plaie

Comment çà marchait? très simple mais pas facile à expliquer, surtout que çà fait longtemps!
2 modèles: le bas de gamme en plastique transparent incolore ou rouge, et le "luxe" en alu.
Crosse creuse fermée par un bouchon vissé et étanche qui servait de réservoir pour une centaine de plombs ronds calibre 7 (pas 7mm! plomb chasse 7). Une poire en caoutchouc communiquait avec la crosse creuse. Au niveau du raccord canon-crosse, on plaçait des rondelles en caoutchouc dont le diamètre du trou était inférieur à celui des plombs. On pouvait mettre de 1 à 3 rondelles (à trois il fallait les deux mains pour appuyer sur la poire!!!). Pour tirer, il fallait diriger l' "arme" vers le sol et appuyer un peu sur la poire, ce qui plaçait un plomb devant le trou des rondelles, et garder la poire en pression pour que le plomb reste en place. Ensuite on pouvait relever l'engin et tirer... pour faire l'effet "mitraillette" il fallait maintenir le pistolet incliné vers le bas ou crosse vers le haut mais çà n'envoyait que 5 ou 6 plombs et çà ne marchait qu'avec une seule rondelle.
C'était le top il y a heu ...55 ans!!!! et c'était en vente libre!!! maintenant il faudrait, bien évidemment, au moins le permis pour acheter ces engins de destruction massive
(j'ai vu il y a peu de temps, dans un de ces magasins où on trouve un peu de tout, des pistolets à billes en plastique à 1,90 euro en vente aux plus de 18 ans seulement )

pour ceux que çà intéresse il y en a un à vendre à:

http://www.france-troc.com/pistolet_automatique_pneumatir-anonce-206976.html

et j'ai trouvé çà aussi:
C'était
dans la cour, au lycée Charlemagne. Une vive douleur à la jambe me fit
sursauter ; ça tenait à la fois de la morsure et de la piqûre, je
n'aurais su le dire. A l'endroit de la douleur, vite estompée, restait
une légère petite rougeur. Je ne tardai pas à en connaître
l'origine. Un copain m'aborda, hilare. Il tenait à la main un pistolet
noir, un "Pneumatir", avec lequel il venait de m'envoyer deux petits
plombs dans les jambes ! Il me détailla sa merveille ; c'était un beau
pistolet, noir. Dans la crosse était logée une poire de caoutchouc, sur
laquelle il suffisait d'appuyer pour faire partir le coup ; en fait, la
pression de l'air forçait un petit plomb à passer à travers une
rondelle élastique, et le propulsait à l'extérieur. Toujours dans la
crosse, un chargeur permettait de stocker simultanément 500 plombs !
Quelle merveille ! Moi qui ne connaissais jusqu'alors que le dérisoire
pistolet à amorces, qui pétaradait sans projectiles, je fus émerveillé
par ce Pneumatir qui, lui, tirait des projectiles sans faire le
moindre bruit. J'en voulus un, séance tenante. Dès mon retour à la
maison, je commençai à harceler ma mère... Il me fallait mon Pneumatir
! Ce n' était pas Noël, ce n'était ni ma fête ni mon anniversaire, mais
qu'importe, je voulais ce pistolet. Je me gardai bien d'en parler à mon
père, je ne connaissais que trop sa profonde aversion pour les armes.
Ma mère se montra plus que réticente ; elle me fit part de ses
craintes, m'expliqua le danger des plombs, qui pouvaient blesser
sérieusement, elle voulut me convaincre par la persuasion... Mais,
emporté par ma foucade, je n'écoutais rien, je n'entendais rien ; je ne
voyais qu'une chose : ma mère ne voulait pas m'acheter mon pistolet !
Ce refus balaya en moi tout raisonnement,une fureur m'emporta : je
criai, j'exigeai, tandis que ma mère courbait l'échine... Elle ne
savait plus quoi dire, mais ne disait toujours pas le oui que
j'attendais. Je finis par lancer : " Si tu ne me donnes pas l'argent,
je te le volerai!"... La gifle méritée ne tomba pas, et ma mère sans un
mot alla chercher quelques billets, qu'elle me remit. Je les pris sans
vergogne, et je crois même n'avoir pas dit merci… J'ai acheté
immédiatement le Pneumatir, pour pouvoir frimer le lendemain
auprès des copains. En leur compagnie, j'allais de temps à autre au
cinéma, et dans la salle obscure, j'envoyais des plombs sur l'écran. On
se marrait en entendant le « flop » que faisait le plomb en atteignant
l’écran !... Mais le pistolet ne m'a pas servi à grand-chose, il ne m’a
pas amusé longtemps, et j’avais eu plus d’émotions à le désirer qu’à le
posséder, c’est souvent comme ça pour tout,dans la vie !... Ce
pistolet Pneumatir n'a jamais blessé personne, mais il a fait de la
peine à ma mère, et il a laissé au fond de mon coeur une petite
blessure, avec une cicatrice en forme de remords… Mon père, avait
raison : toute arme est dangereuse.

Aujourd'hui ça doit bien être classé en 4ème catégorie...

J'ai trouver ça Regarder a la page 4 "Milbro Cub 2.5mm"

https://store.bluebookinc.com/Info/PDF/Airgun/MostMassiveAirgun.pdf

c'est exactement ca!,sympa aussi les pcp!

Ce pneumatir me rappelle de bons souvenirs....Nostalgie!

Punaise les gars, j'avais pas entendu parler de Pneumatir depuis... disons 1969 ! Le mien était couleur Ivoire/crème. Jamais j'ai réussi avec 3 membranes: 2 c'était mon max ...
Beau souvenir! Merci

avec 3 membranes il fallait appuyer à deux mains

Bonjour,

Je viens d’acquérir un pneuma-tir 500 sur lequel les membranes sont hors d'usage, quelqu'un pourrait-il m'envoyer des photos des membranes n2 et n15, ainsi que quelques détails sur la matière.

J'aimerais bien en fabriquer, ça pourrait servir à pas mal de monde. Il y a un site où c'était en vente, mais c'est actuellement en rupture et le monsieur n'en fabriquera plus selon ses dires.

Merci d'avance.

bonsoir,

que de bons souvenirs avec , j'avais complètement zappé. 14 ans tu entres dans l'armurerie, bonjour un pneumatir svp et c'est parti!
remarquez les 22 ont pouvaient les acheter chez Leclerc (majeur).

merci

Et à l'époque pas de règle de sécurité ni de lunettes ou autres !

A 10-12 ans chacun avait le sien et on jouait aux gendarmes et aux voleurs en tirant allègrement sur les copains.

Comme le dit la pub : inoffensif !

Ha ha j'ai toujours le mien !

Bon par contre, ça se transformait volontiers en carabine, mais en mitraillette, faudra m'expliquer ^^

Que de souvenirs... (d'ailleurs en parlant de souvenirs, je viens de voir que c'était un déterrage)

J'ai eu la version transparente, beaucoup de fun avec!, mes premiers souvenirs de bidouilles pistolières plus ou moins efficaces, genre rajouter des rondelles en folie pour augmenter la puissante du tir, des bons souvenirs en tout cas!
Le coté mitraillette, c'est quand tu réduisait au maximum le nombre de rondelles, résultat: presque pas de résistance et laissait passer 3-4 plombs par tir, a condition de tirer vers le bas, mais rien de vraiment hallucinant de mémoire.. et je ne vois pas d'autre moyen d'en faire une sulfateuse