Bonjour
Ce midi dépouillage du SIG, trop de jeu dans le canon
un problème je pense de conception ou d'assemblage.
Petite recherche: (P226 blowback 4,5 disassemble) et
J'ai trouvé un tuto en anglais sur "ton tube"


Je me suis donc mis au travail.

Enlèvement de la goupille


L'intérieur, avec vue sur la valve.



Après solidarisation du canon avec une presse, pose d'un joint de colle cyano (plusieurs couches) à cette endroit.


Je n'ai pas suivi la vidéo pour le démontage complet, j'ai pas osé
car j'ai souvent des problèmes avec les ressorts, je m'en suit donc tenu au plus simple et au plus rapide.
J'avais pensé mettre de la colle epoxy, dans un premier temps un test avec de la cyano de bonne facture
on verra si ça tiens, ou pas, j'ai hâte que ça soit sec pour voir si il y a amélioration en précision.
Vu le jeu qu il y avais, (pas loin d'un millimètre!) je pense que oui, de toute manière, pas d'illusion
visée fixe, du jeu dans la culasse, bref réplique de loisir! C'est du militaire! En tout cas système bien pensé
l'élévateur qui fait tourner le barillet est vraiment minuscule, mais en métal donc en cas d'usure il suffit
de changer le chargeur qui lui est en "plastic". Pour le système du blowback je pense que tout se passe
dans la valve, à la percussion de celle-ci, la tige doit reculer et entrainer la culasse, je pense.
Plus qu'a faire les tests!

Bonjour guitarjoe,

Vu la longueur de la partie collée, à mon avis ça ne risque plus de bouger.

J'ai eu le même problème avec un revolver mais le canon ne repose sur rien,
il est juste emboité dans la carcasse et l'endroit du collage est minime. J'ai pas osé.

v'la une bonne idée la cyano
amicalement

Certes c'est bien utile
CYANOMAN te salut bien!
amitiés

- guitarjoe , étant moi - même un adepte du collage .

- Voilà ce que j'avais utilisé ( confection de support lunette pour Diana 5 ) .

- De l'adhésif double face pour moquette . Support fixé par 2 vis de M3 ( à la place de la hausse ) .

- Il m'avait fallu démonter . Seulement , çà tenait tellement , que je voyais le moment où je pliais le corps du piston .
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