Déjà le modèle 48/52 n'existe pas. C'est soit 48 soit 52. A voir selon la crosse, si elle a un appui joue asymétrique avec une couche en caoutchouc à l'arrière, c'est une 52 sinon une crosse lisse c'est une 48. A l'époque pour éviter d'avoir une diversité supplémentaire, Diana gravait 48/52 sur la mécanique car c'est la même entre la 48 et la 52.

Pour la tige du levier, il y a un écrou où il faut la bloquer d'un côté pour pas qu'elle se dérègle et de l'autre elle reste libre, procéder par pas de demi-tours en enlevant l'axe du levier et en le remettant pour essayer afin que cette tige fasse office de ressort et plaque automatiquement le levier en se cintrant un peu.

ok eric89 compris c est donc une 48 merci

Eric89 a écrit:

Déjà le modèle 48/52 n'existe pas. C'est soit 48 soit 52. A voir selon la crosse, si elle a un appui joue asymétrique avec une couche en caoutchouc à l'arrière, c'est une 52 sinon une crosse lisse c'est une 48. A l'époque pour éviter d'avoir une diversité supplémentaire, Diana gravait 48/52 sur la mécanique car c'est la même entre la 48 et la 52.

Désolé mais je ne suis pas de ton avis; il me semble que la différence entre la 48 et la 48/52 se situe au niveau du boitier de détente, et de toute façon je m'en tape.
Quand j'ai acheté la mienne (1992), l'armurier qui me l'a vendue me proposait les deux modèles.
J'ai une facture qui atteste que j'ai bien acheté une 48/52 et pas une 48.

En fait il y a eu des Diana 48 avec le mécanisme de détente TO5 et plus récemment en TO6, sinon la différence entre la 48 et la 52 a toujours été la crosse, dite de "luxe" sur la 52, mais bon, à la base c'est la même carabine, d'où l'appellation 48/52.

Pourtant c'est bien le cas. Le fait que les 2 modèles soient inscrits sur la mécanique provient bien d'un souhait de ne pas avoir 2 diversités lors du marquage. J'ai bien vu une page de catalogue des années début 90 où les 2 modèles distincts y sont. D'ailleurs celles qui sont marquées 48/52 ne sont pas vendues avec la t05 mais avec la t01, toutes les deux. Queue de détente en plastique, retenue de la tige du piston dans le bloc de détente non pas par un crochet comme c'était le cas sur t05 ou t06 mais par 3 billes placées à 120 degrés maintenues rapprochées par une douille montée sur un puissant ressort. Reconnaissable facilement par le bouton de sécurité en tôle enroulée et pas de voyant coloré rouge. Voir système de détente ici pour info :
https://www.forum-airguns.com/t65392-demontage-et-changement-ressort-diana-48-52

Apparemment sur les Diana 48 et 52 il y aurait eu les détentes T01, T05 et T06, il faut dire aussi que ce sont des carabines qui datent un peu maintenant, la première fois que je les ai vu était sur le catalogue Kettner, ça aussi ce n'est pas jeune.
Toujours est-il, chez Diana les histoires de boîtiers de détente, c'est un peu comme une chatte qui a perdu ses petits  pas très simple...

De ce que je sais. Seules celles portant le marquage 48/52 ont la t01. Quand c'est passé en t05 dans les années 2000 il y avait déjà le marquage distinct.

Bonsoir.
Si quelqu’un pouvait détailler les différents boitiers de détente et les mettre en photos, ce serait sympa.
Perso je suis incapable de les différencier, et comme de toute façon je n'en possède qu'une (Diana),donc je m'en tape parce que la mienne fonctionne très bien.

Très très simple. T01, queue de détente en plastique avec 2 vis de réglage, bouton de sureté en tôle enroulé, aucun marquage rouge ou blanc pour la sûreté. Pas de pièce en alu, tout est en tôle et c'est du costaud !



C'est ce qui était monté jusque début 2000 environ.


T05 (la pire), queue de détente en plastique, 1 vis de réglage, bouton de sûreté en plastique, marquage blanc et rouge pour la sûreté. Pas mal d'aluminium également pour le corps du système par exemple.




T06 (la dernière et la meilleure question régularité), utilisée à partir d'environ 2010, corps en alu, queue de détente métallique avec 2 vis de réglage, sécurité identique à la T05.



Très honnêtement, je pense que le système de la T01 est très nettement supérieur aux nouvelles question robustesse et principe de fonctionnement, par contre il demande un appui tout de même assez conséquent et de plus si les pièces de sont pas bien polies, lubrifiées, la détente ne revient pas en arrière, le système en quelque sorte ne se reset pas au lâché de la queue de détente.

Bonsoir.
Merci pour les photos.
Donc j'ai bien la t01.
Je n'ai jamais eu de problème avec, et le poids de détente est réglable; j'ai réglé la mienne au minimum admissible puis j'ai resserré un peu de façon a avoir une marge de sécurité.
Charlie28 qui vient de temps en temps chez moi et qui possède la même en a même été surpris.
J'aime bien les détentes réglées façon "benchrest".
Si tu avais l'éclaté de la t01, ce serai sympa.

Si cela peut aider

Ouaaaaah !!!!
Il y a du monde dans ce boitier de détente!!!!!!!
Merci pour la photo.

hips a écrit:

Ouaaaaah !!!!
Il y a du monde dans ce boitier de détente!!!!!!!
Merci pour la photo.

He oui a l'époque les détentes étaient des détentes

encore un question,
puis-je armé et desarmé ma 48/52 sans tirer et sans danger pour la cara ?
le but de la maneuvre regarder sans demonter l etat du joint grace a une camera endoscopique par le trou de la culasse.

je ne crois pas. Il me semble me rappèlera que tu as une crémaillère sur la 48/52.

Sur d'autres modeles, quand tu peux reouvrir le levier, tu peux faire comme sur une carabine à canon brisant et comprimer le ressort en rearmant puis en decrochant le piston en appuyant sur la detente.

Mais sur celles à crémaillère, le levier est verrouillé tant que le tir n'a pas eu lieu

Sur la 300 en demontant l'action, tu as moyen de relacher la crémaillère. Mais c'est peu pratique avec seulement 2 mains

Et sur la 48/52, aucune idee.

darta a écrit:

encore un question,
puis-je armé et desarmé ma 48/52 sans tirer et sans danger pour la cara ?
le but de la maneuvre regarder sans demonter l etat du  joint grace a une camera endoscopique par le trou de la culasse.

Bonsoir.
Tant que tu n'as pas armé le levier d'armement à fond, tu peux détendre le ressort simplement en retenant le levier légèrement en arrière et en appuyant sur sa sécurité (crémaillère); le ressort de compression va le renvoyer en avant.
Ne lâche surtout pas le levier lors du retour et accompagne le jusqu'à sa position initiale.

ce qui m interesse c est armé completement pour voir le joint en referment légèrement , je sai pas si je me fai bien comprendre

darta a écrit:

.... regarder sans demonter l etat du  joint grace a une camera endoscopique par le trou de la culasse.

darta a écrit:

ce qui m interesse c est armé completement  pour voir le joint en referment légèrement , je sai pas si je me fai bien comprendre

Je ne connais pas le diamètre du trou de transfert mais il il faudra du très fin. Et puis au mieux tu verras
que la face avant du joint et pas la partie "active" de la lèvre/jupe du joint pour en déduire un état.

A ta place, je démontrais tout simplement. Il doit bien y avoir ici ou ailleurs des tutos pour te simplifier la manoeuvre.

Tu peux toujours placer une feuille de papier après avoir frotté le joint légèrement avec de l'huile de silicone.
Lors du tir le papier sera percé. Mais tu verras sur le papier si le contact avec le joint était bon

darta a écrit:

ce qui m interesse c est armé completement  pour voir le joint en referment légèrement , je sai pas si je me fai bien comprendre

Bonsoir.
Je viens de comprendre ce que tu demandes; la réponse est non.
Si tu armes une 48/52, le seul moyen de la désarmer est de tirer et puis comme l'explique varadero91, tu ne verras pas grand chose, vu le Ø du trou de sortie de l'air.

Salut,
Je confirme que tu ne verras pas grand chose à moins d'avoir un miroir de dentiste. Par contre il existe un moyen de désarmer sans tirer, c'est même plus facile que sur une 460 magnum par exemple.
Quand l'armement a été complètement fait et que la détente a attrapé le piston. Il faut tenir la cara, main gauche à l'emplacement poignée de pistolet comme pour tirer pour pouvoir appuyer sur la détente, caler la cara dans le creux des cuisses (en faisant attention où bien sûr) et tenir avec la main droite le levier.
Enlever la sécurité puis tenir très fermement le levier vers l'arrière avec la même force que quand tu armes, appuyer sur la détente pour entendre le clac, à ce moment laisser revenir un peu en avant le levier pour arriver au dernier cran du cliquet. Placer alors la main gauche sous le fut au niveau du bouton de cliquet et non plus à la poignée pistolet pour tenir en équilibre et avoir de la force, commencer de nouveau à tirer le levier en arrière pour soulager le cran du cliquet, appuyer sur le cran du cliquet avec la main gauche qui fait le tour du fut par le dessus et enfin ramener tout doucement le levier en restant appuyé sur le cliquet.
C'est une gymnastique assez compliquée à décrire mais une fois faite c'est pas si difficile que ça.
Par contre attention en la faisant de ne jamais lâcher le levier. Il y a bien le cliquet mais pas se fier à 100% dessus.

merci Eric89 pour l expliquation tres precise,c est ce que je pensais mais je voulais etre sur de la manœuvre.
pour regarder j ai une camera endoscopique

pour désarmer une 48/52/54 tirez le levier d'armement , jusqu'à " rattraper " la tension du ressort .
ATTENTION cela nécessite pas mal de force , il faut le maintenir en arrière donc et dans le même temps , effacer la sécurité de queue de détente , actionner la détente pour libérer le piston de son accroche puis ramener le levier vers l' avant en le retenant et en effaçant la sécurité "crocodile" ( celle située à proximité de l'orifice de chargement ) .

Voila , c'est sportif mais faisable sans rien abîmer !

merci a tous pour vos conseils

Bonjour. Je me permets d intervenir dans votre poste pour vous poser une question la Diana 48/52 . Étant dotée à l origine d une détente T01 , est il possible vu que le piston d origine est plus court , d adapter un piston de Diana 48 ou 52 de model récent soit pour une détente T06 . J ai essayé à vide , et ça a l air de fonctionner. Mais avant de tout remonter, je voudrais si possible avoir confirmation que c’est possible. Merci à tous.